• Que dire ? Privé Topaz

Que dire aux CPE de se lycée quand on est c'est fait virer ? C'était la question qui trottait dans la tête de la petite brune qui, sonsac bleu nuit sur les épaules, se dirigeait d'un pas lent vers le bureau des tyrans de se bahut. Pourtant, tout commençait à merveillement bien non ? Elle avait revêtue un nouveau jean - des plus simples certes - foncée avec quelques trous au niveau des genoux, mais avec une coupe venant se poser comme une seconde peau sur les formes de Léa. Elle l'avait trouvé à quelques euros dans un magazin qui venait d'ouvrir et qui, à petits prix, vendaient des habits relativement portable. Enfin, il fallait fouillé, mais elle avait trouvé son bonheur et décidé de le mettre pour se jour de collège. Mais la question n'est pas là.

Comme je le disais, tout commençait bien, un nouveau jean assortie d'un pull noire à décolter, ses longs cheveu bruns lâché sur ses épaules lui donnant un petit air sauvage, un trait noire de maquillage qui veait soulignait l'intensité du regard et en plus ... Et c'est bien là le plus important : elle avait décidé de mettre les pieds dans se bahut. Et Oui, notre petite Léa était loin d'être la tête blonde chéri de tous professeur et encore moins celui de Français. C'est d'ailleurs pour cette même raison qu'elle se retrouvait à marcher dans les couloirs désert en direction du CPE.

Elle s'arrêta un instant au casier, posant ses livres de manière à allégé encore plus son sac qui était déjà pas bien lourd. Elle réfléchissait tout en insérant la clé dans le cadenas de son casier. Pourtant, elle ne pensait pas avoir été réellement irrespectueuse ou insolente - bien que se soit réellement ce qui s'est passé -. Elle admettait, soit qu'elle avait du répondant un caractère impulsif, mais il était hors de question qu'elle courbe l'échine devant un de ses bourges prétentieux qui croivent que l'argent pousse sur les arbres et qu'il achète tout. Ce dernier point n'était pas vraiment faux, ils achetaient presque tout et ce qu'il ne pouvaient avoir, c'était les Bas-Landère qui en jouissait c'es à dire : l'amour, l'amitié, la sincérité et la liberté. Il est vraie que le mo liberté est quelque peu abstrait, mais ses bourges habillés des dernières marques aux portables dernier cris, étaient enfermés dans leur bulle de cristale, insensible à la pauvreté qui s'étendait sous leurs pieds chaussé de chaussure à 1 000 euros.

Léa était absorbé dans ses pensées philosophique et, depuis maintenant quelque minutes, elle tournait et re-tourner la clé sans le moindre déclic. Elle se fit violence et referma correctement le casier rouge vif. Un fin sourire s'était installé sur son visage impassible. Elle aimait bien pensée comme cela. Parce qu'elle se savait pauvre, mais elle avait tous se que ses bourges - inconsciemment- désiré.

Un bruit sec de porte claqua suivit de bruits de pas précipité. Quelqu'un qui sortait de cours ? Tant mieux, elle aurait le loisir de s'auser un peu avant de se rendre dans le bureau des surveillants. Enfin s'amuser, sa dépendait fortement du Qi de son interlocuteur ? Un pouff' ? Un bourge ? Un Bas-Lanbere ? Elle jeta un coup d'oeil en arrière pour connaître la réponses à ses hypothèses. Elle parié fortement pour un pouff' blonde.

[ Eh bien, tu disais ne rien garantir pour ton Rp, mais c'est plus que convenable ! ^^ ]

Plus les jours passaient, et plus la question trottait dans la tête de Topaz : franchement, quel intérêt de venir presque tous les jours dans ce bahut pourri pour soit-disant "apprendre". Apprendre quoi, au juste ? Dans quel but ? La réponse était plus qu'évidente : obtenir un diplôme pour présenter après les études un Curriculum Vitae à peu près correct à des employeurs qui ne s'intéresseront qu'aux origines sociales et à la couleur de peau de leur éventuelle nouvelle recrue. Peut-être le lycée avait raison d'être pour ces bourges du Haut, mais, Topaz se le savait, le bac ne serait d'aucune utilité pour ceux du bas quartier.

C'est donc comme toujours sans enthousiame que la jeune femme s'était rendue en cours de maths en ce mardi matin. La seule raison qui l'avait poussé à cet effort était le temps morne, loin d'être idéal pour passer la journée dehors comme avait coutume de le faire Topaz lorsque l'envie de sécher lui venait.
Evidemment, elle était tout de même arrivée en retard - la ponctualité en ce lieu n'était pas de mise avec elle. L'Espagnole avait donc fait une arrivée remarqué en classe, sans un mot d'excuse. Le professeur l'avait bien apostrophée dans l'espoit de se voir présenter un billet de retard, mais le froncement de sourcil de son élève lui dissuada d'insister. Cette dernière s'était rendu tranquillement dans le fond, à une table individuelle, n'ayant aucune envie de se faire déranger. Comme souvent, elle s'était coltiné les regards de ses condisciples, et avait fixé d'un oeil noir une de ces pouf's bourrées de fric et de fond de teint qui la regardait avec envie. Il faut croire que comme à l'accoutumée Topaz suscitait de l'intérêt. Elle avait revêtu un jean moulant, au bas rentré dans des bottes noires à talon aiguille montant jusqu'au genou, et se fermant au molet par un encordage de ficelle. En prenant place, elle n'avait pas ôté sa veste noire très ajustée, et avait posé sans enthousiame son sac à main de cuir sur la table couverte de graffitis qui se présentait devant elle. Et là commença l'ennui le plus total.
Elle se contenta au début de prendre quelques notes sur une feuille à carreaux, puis en ayant assez en fit une boule qu'elle balança derrière son épaule. Ce geste n'avait pas échappé à l'enseignant qui manifesta son contentement d'une mine agacée - mais il fit aucune remarque orale, cette fois-ci.
De plus en plus lassée du charabia soporifique de la prof sur les fonctions dérivées, Topaz poussa un soupir, et fouilla dans son sac. Elle en extirpa un miroir de poche - volé dans une boutique du Haut - et vérifia la netteté de sa tenue. Ses cheveux d'un noir brillant était en partie retenue derrière sa tête à l'aide d'une pince rouge vif. Elle n'était que très peu maquillée - un trait noir aux yeux, un peu de gloss sur les lèvres, et c'était tout. Une petite touche qui gardait son visage sublime très naturel. Elle rangea l'accessoire, puis croisa les jambes, les coudes appuyés sur la table et la tête dans les mains.

- Mademoiselle Rumy, un peu de tenue serait de rigueur !

La voix du prof' avait claqué, sèche et impatience. Tranquillement et nullement effrayée, la belle Topaz redressa lentement la tête, et défia du regard l'enseignant qui lui faisait face. Elle n'avait jamais pu le supporter, ce riche friqué qui se croyait au-dessus de tout. Aujourd'hui, il était particulièrement exaspérant.

- J'ai aucun ordre à recevoir de toi.

La réplique insolente de son élève avait plongé le professeur dans un colère noire. Rouge de fureur, il cria d'une voix étranglée :

- Petite impertinente ! Chez le CPE, et vite !

Topaz se leva, empoigna son sac avec satisafaction, et se dirigea vers la porte avec un sourire narquois. Elle claqua violemment le battant derrière elle. En réalité, elle n'était pas mécontente d'être renvoyée de cours. Elle serait toujours mieux ailleurs que dans cette salle à l'ambiance oppressante.
Topaz fit quelques pas dans le couloir, un peu rêveuse, et arriva vers les casiers, qui étaient sur le trajet du bureau où elle avait été envoyée - mieux valait se rendre chez le CPE, ce dernier aurait vent de l'affaire dans tous les cas.
L'Espagnole tomba sur une fille plutôt jolie qu'elle n'avait encore jamais vue. Il y avait donc encore quelqu'un qui traînait dans le bahut à cette heure de cours ?

( Oui bah, j'essaie d'enfaire autant que toi, tu fait une superbe rep j'vais pas faire 3 lignes -_-' c'est vachement agaçant xD. J'te propose soit on reste là pendant un moment, soit on va chez le CPE et on file en étude après ... Enfin ch'ai pas trop Wink

)

Je disais donc que la petite Léa avait une finit par fermé son casier correctement. Elle en profita pour jouer avec les cadenas qui bourge qui encadrait le sien pour voir s'il n'y avait rien à prendre, ou si, par idnavertance ils n'avaient pas omis de fermer ce dernier. Un large sourire éclaira son visage hâlée et elle jeta le cadennas sur le sol dans un bruit métallique qui se répercuta dans les couloirs maintenant vide. Elle passa sa main dans le casier rouge vif, un sourire avide sur ses lèvres et en sortit un I-Pod suffle et une montre apparement D&G. Mais à vraie dire Léa n'avait jamais était très aiser dans le fait de reconnaître telle ou telle marque. Ses préocupations dépassaint largement ses quelques futilités. Mais en même temps il était très intéressant de le savoir histoire de la revendre à bon prix. Après tout ce n'était qu'une bonne action. Ses petits bourges, après avoir eu une leçon de morale, en aurait une toute neuve sans avoir besoin de mentir a leur parent Wink

. Fière d'elle elle mit son trésor dans son sac avant de tendre l'oreille. Un claquement de porte puis un bruit de talon qui résonnait dans le couloir désert.

La petite Léa tourna sa tête vers la provenance du bruit. A l'entendre la démarche était plutôt souple et féline quoiqu'un peu brusque dénottant un éventuelle énervement. Léa acquiessa mentalement, si ses ... pronostiques étaient bonne, la pouff' blonde qui devait montré son bout du nez serait passablement énervé suite à une exclusion. Ce qui serait forcément plus intéressant pour la petite Bas-Lanbère qui aprécié plus que tout les combats verbales avec ses simples d'esprits. xD. Elle s'installa donc dos aux casiers ses yeux sombre parsemée de paillettes dorée sur le tournant du couloir attendant avec un petit sourire angélique ce qu'elle croyait être sa future proie.

Mais contre toute attente, au détour du couloir gris arriva une jolie jeune femme à l'allure fière et élégante. Léa ouvrit quelque peu ses grands yeux, déçut intérieurement de ses faux pronostiques. Elle s'était un peu laissé emporté sur la 'suite' des évenements. Léa était calculatrce et elle n'aimait pas avoir tord. Elle reprit contenance reposant son pied sur le carrelage marron de crasse :s. Elle observa la belle métisse qui s'approchait toujours d'un pas déterminé. Elle avait revêtue un jolie pantalon avec de grandes bottes, seulement il n'y semblait pas avoir de marques dessus. Peut être sa veste en cuir ou son sac à main, mais, et Léa le savait, aucun bourge n'oserait venir ici sans tous de marque et de dernier cris. Malgré la beauté éclatante de la Belle métisse, elle ne pensait qu'elle appartienne au Haut-Lanbère, de plus se serait un énorme gâchie. Et puis, il y avait se truc qui la gênait ... Non pas un défaut quelquonque sur son jolie visage, non quelque chose de plus ... abstrait. Peut être était-ce ce port de tête et cette fierté qui se dégageait de la belle Espagnol. Oui ... Sa devait être sa. Cette fierté que tout les BL en dépit leur pauvreté plus ou moins accru, abordait tous fièrement. Voilà, elle avait trouvé c'était cela. Elle continua d'obesrvait la jeune femme qui devait en faire tout autant. Oui, Oui je sais Léa n'est pas un modèle de politesse, dévisageait comme sa un inconnue - une inconnue dans se cas-ci- était tès mal vue, mais Léa répliquerait elle-même qu'elle la dévisageait à la limite de la politesse. Là est toute la nuance, la brune se fixait des limites à ne pas dépasser et elle s'y tenait en règles générale.

Hum ... Devrais-je continué à m'étendre sur cela ? A vraie dire surement ~~si je veux remplir mon côta de lignes~~ mais Topaz - bien que Léa ignore son nom - se trouvait maintenant presque à sa hauteur et, toute personne normale s'arracherait à la contemplation de la jeune fille avec un regard ou une parole gêné. Maisvoilà Léa est tout sauf normale, elle posa son regard brun dans les yeux de la Belle Espagnol et, avec un sourire malin se mit à lui parlez. Elle est très sociable et a vraie dire, dans le cas où elle était - c'est a dire un allé simple pour le bureau de son cher-ami-le-CPE, tout moyen de retardé se moment était accueillie les bras ouverts. Non pas que la brune aie réellement peur ou une apréhension, seulement que cela lui permettrait de retardait le moment où elle risquait d'être insolente avec le tyran qui lui donnerait un allé simple pour le bureau de la principale. Mais, Léa et la principale s'aimait beaucoup et, généralement elle retournait en étude le temps que le cours dont elle était excue se termine. Bref, de sa voix envoutante et avenante elle demanda simplement.

- Toi aussi viré de cours ?

Bon je l'ai dit précédement la politesse n'est pas un point fort de la petite brune - enfin petite Rolling Eyes

- brune. Le vouvoiment était sa bête noire et d'ailleurs tous les profs prenait cela pour une insolence non-dissimulé. En réalité se n'était que le fait qu'elle ne vous pas s'entendre parlez comme ses hypocrite de bourges. Léa rejetta une de ses mèches rebelles en arrière, avec un geste simple et rapide avant de jouer avec ses créoles argenté qui mettait en valeur sa peau bronzée

[ Hum, j'imagine bien la scène chez le CPE XD. Alors on échange quelques mots ici, puis on va au bureau ? ]

Topaz passa distraitement une main dans ses cheveux ; pour quelle raison exactement ? Allez savoir. Son regard pétillant de magnétisme quitta un instant l'inconnue pour observer ce que pouvait bien fabriquer ici cette dernière. Etre ainsi à fouiller autour des casiers pouvait être considéré comme suspect ici ; peut-être Léa avait-elle était également renvoyée de cours - amusant, cette situation.
Sans se presser, Topaz s'était arrêté devant la jeune femme au casier, se tenant toujours élégamment - sans être hautaine avec la personne. Car l'Espagnole avait vite cerné l'étudiante qui lui faisait face. Une fille du Bas, évidemment. Oh, rien de péjoratif dans ce jugement, au contraire ! Léa n'était visiblement pas une de ces garces bourrées de silicone et de montres D&G qui profusaient à une vitesse vertigineuse dans le bahut. Simplement une nana naturelle du Bas qui garde son honneur, et ses valeurs. Topaz la jaugea presque machinalement - une habitude pour elle d'évaluer ainsi ses nouvelles rencontres, et de se faire une idée précise du genre de personne dont il s'agissait. Le visage de Léa était d'un mat remarquable ; Topaz se demanda quelles étaient ses origines ethniques - peut-être une latino ou une originaire des îles. C'était réellement une personne ravissante qui devait faire bien des jalouses au sein de l'établissement scolaire où elle étudiait, mais Topaz n'éprouve nulle envie pour elle ; elle n'avait jamais souhaité ressembler à une autre, ce que l'on peut aisément comprendre. L'Espagnole nota qu'elle dévisageait également Topaz. Aussi curieuse qu'elle, alors ? Ce ne serait pas surprenant, tout compte fait.

Lorsque l'inconnue prit la parole, un sourire naquit aux lèvres délicieuses de Topaz. Elle avait cette spontanéité qui caractérisait également Topaz avec ceux de son quartier. La demoiselle semblait aussi rebutée par le vouvoiement que l'Espagnole - encore un bon point pour elle. Topaz n'avait jamais trouvé d'intérêt à user de politesse particulières, encore moins avec les adultes. Ces derniers tutoyaient les mineurs sans complexe, alors pourquoi les jeunes n'en ferait pas autant ? Topaz ne voyait pas la façon dont elle s'était adressé à son professeur comme de l'insolence - juste de la brusquesse peut-être et de l'agacement, mais franchement il n'y avait pas de quoi l'envoyer chez le Conseiller Principal d'Education (avec des majuscules, oui). La jeune femme avait toujours senti que ce professeur ne l'aimait pas. Dès le premier cours elle avait commencé à éprouver de l'anthipathie pour cette figure de l'éducation trop hautaine et méprisante avec ceux que les bourges avaient affecté du surnom peu reluisant de "Pauvres".
Pauvre ? Topaz l'était, oui. Comme la quasi-totalité des Bas-Lanbériens - car oui, il en étaient certains qui avait une situation confortable, sans bien sûr pouvoir prétendre rivaliser avec les riches du haut sur le plan financier. Et elle n'avait jamais compris la motivation, mis à part le trop d'espace, de la ville pour réunir en un lycée le haut et le Bas - avec par dessus le marché des enseignants dans le genre de celui de mathématiques. Quelle motivation, sinon de vouloir mettre encore davantage de doigt sur le point qui gêne, à savoir le statut très contrasté des habitants de l'originale et morcelée ville qu'est le Lanbere ?

A la remarque de Léa, Topaz donc eut un sourire mi-amusé mi-amical. Elle répondit avec aisance, faisant entendre le son de sa voix si agréable, où les R se roulaient légèrement :

- Et j'ai l'impression que le vieux fait tout pour.

Sur ce, la belle s'appuya modérement sur les casiers, tenant toujours son sac de cuir à la main. Par l'expression "le vieux" elle entendait bien évidemment le prof' d'algèbre, géométrie et autres réjouissances. Mais cela, son interlocutrice ne pouvait pas le deviner - c'est qu'il y en avait tellement, des enseignants friqués et désagréables dans ce lycée que Topaz avait maudit depuis qu'elle y avait posé le talon. Que ce soit histoire-géographie, anglais, maths... oui la majorité des matières étaient fourrées dans le cerveau peinant des élèves par des personnages proches en de nombreux points du vieux matheux fier d'avoir exhibé son diplôme de l'Education Nationale à son premier job dans une école primaire - depuis les choses avait changé pour lui. Mais qu'importe...

- Et toi, je suppose que tu n'es pas dans les couloirs au lieu de des cours pour le plaisir de tripoter des casiers. Quoique c'est toujours plus intéressant que s'emmerder à écouter un prof' radoter, je te l'accorde...

[ Pas de Problème ]

Toujours résolument adosser aux casiers couleur rouge vif, Léa abordait son air naturelle c'est a dire quelque peu buté avec une pointe de malice, le tout souligné de son regard sombre qui lui donnait une pointe de mystère que les garçons aimait particulièrement. En réalité cette étincelle, on la retrouvait dans le regard de Topaz et surement dans celui de toute les nanas du Bas-Lanbere. M'enfin bref, là n'est pas le sujet principale de la conversation. Léa prit conscience que la position dans laquelle elle se trouvait précédemment c'est à dire : la main sur le cadena et le regard avide, encore heureux - enfin heureux - qu'elle ne l'ai pas vue mettre son bulletin dans son sac. Mais après tout cela n'était pas ses affaires et la brune avait une sainte horreur des préjugés et idées reçus. Elle en avait pourtant pour les bourges, enfin, ils s'avéraient souvent souvent véritable. Un seul être échappé à ses derniers son petit Ben' celui qu'elle considéré comme une star. Breff ... Je divague, je divague mais revenons en au pricipale : Topaz.

A vraie dire la métisse qui se trouvait en face d'elle semblait lui ressembler en beaucoup de point, même regard emplie de curiosité envers l'inconnue qui se dressait devant elle et apparement le même gout prononcé pour la discipline pendant les cours -_-'. Mais Léa en était vraiment fière. Il est vraie qu'être fier de son insolence et son irrespect était quelque peu particulie, mais qui ose dire que Léa ne l'aie pas ? Vraiment ... Elle aimait cette différence et l'entretenait avec le même soin qu'elle entretenait son bronzage. Et Oui car on peut être pauvre et prendre soin de soi, Léa en est la preuve vivant et, de toute évidence Topaz également. D'aileurs, Léa l'avait remarquer, cette notions était pour le moins incovable pour les bourges et, en particulier les pimbêches richissimes. Pour eux le mot 'Soin' rime toujours avec 'argent'. -_-' autant vous dire que se n'était certainement pas eux les poètes. Mais cela l'amuser franchement, pas besoin d'acheter des montres aussi chère qu'une maison pour pouvoir séduire celui qui vous plaît. Un peu de sincérité, une touche de naturelle une poignée de séduction, son atout secret et Léa était persuadé de pouvoir convaincre n'importe qui de sortir avec elle. D'ailleurs son tableau de chasse était généralement plus garnie que celui des bourges qu'elle avait croisé.

A la réponse de la Belle Topaz, Léa ne put réprimer le petit sourire avenant qui s'insibuait sur son visage impassible. Non pas qu'elle veuille caché ses réelle sentiments, c'était plutôt qu'elle n'aimait pas tellement sourire en présence d'inconnue, mais après tout ... Pourquoi s'en empêcher ? La brune ne semblait pas être violente et même s'il elle l'était, Léa pouvait se vanter de possédait une vitesse de pointe pour le moins exeptionnelle xD. Mais elle ne choisissez la fuite qu'en cas de grand danger et, même quand celui-là était présent, elle hésitait longuement avant de prendre ses jambes à son cou. Mais pour le moment, le danger n'était point là ou du moins sous la forme d'une superbe Espagnol chaussé de chaussure très jolie. Ainsi donc elle parlait d'un vieux crouton ? Hum ... Oui, elle aussi venait de sortir d'un cours où un vieux bonhomme à la peau semblable à du parchemin mouillé, essayer d'inculper les bases de la langues françaises à ses chers élèves friquée. Léa ne faisant pas partie de cette dernière catégorie et possédant un gout prononçé pour désobéir avait immédiatement était classé dans le groupe ' passe le plus de temps hors de mon cours '. Et ce n'était pas à cause de ses notes, elle avait - au contraire des maths- de réelle capacitées et une sensibilité littéraire accrue, mais malgré cela le petit bonhomme chauve l'avait dans l'nez.

Mais se petit sourire ne fit qu'augmenter à la suite du discours de la belle métisse. Son visage prit une teinte avenante et elle acquiessa les paroles de celle qui se prénommer Topaz. De l'humour ? Tant mieux, rien de plus ennuyeux que la perspective d'une rencotre anti-humour, sans répondant ni ironie. Topaz semblait sur la même longueure d'onde qu'elle et, sans le vouloir, elle lui attribua plusieurs bons points la plaçant dans la classe ' a découvrir '. Elle semblait intelligente et qui plus est obstiné, ce qui ne fit que plaire à Léa. Elle décida donc de répondre à la question que lui avait posé la belle Espagnol par politesse et puis faire sa connaissance. D'ailleurs elle n'avait aucun motif pour refuser de répondre à ses questions.

- En effet, c'est beaucoup plus intéressant et cela me rapporte plus qu'entendre un de ses bourges s'attendre à ce que je me plie à ses désirs. Quant au prof, il ne vaut pas mieux. A croire que l'argent dispense de politesse

Une pointe d'ironie perçait dans ses premières paroles.En effet, elle avait récolter une montre et un I-pod. Mais cela, Topaz ne pouvait que le soupçonner et non l'affirmait. A la fin de sa phrase elle sourt plus ouvertement, c'était exactement ce qu'elle avait répondue au professeur lorsqu'il lui avait demander de s'excusez et, c'est exactement ses paroles qui l'avait fait enrager de manière démesurer. Enfin, disons que c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase xD. Mais cela la rassurez quelque part. Oui, savoir que faire sortir les profs de leur gongs en quelques paroles était très rassurant pour la brune. Mais, après avoir jetez un coup d'oeil au papier que le professeur lui avait donné, elle remarqua qu'il avait mis l'heure d'exclusion à défaut de la faire accompagner d'un délégué. elle chopa un bic et rectifia les minutes, cela faisait un quart d'heure qu'elle se trouvait là et le CPE apprécierait moyennement qu'elle est plus de 15 minutes de retard xD. Elle se remit d'aplomb avant d'attacher ses cheveux en une couette basse évitant ainsi une mauvaise remarque de la part des CPE. Elle lança un sourire à l'autre brune avant de dire de la même voix entrainante et envoutante.

- On f'rais mieux d'y allez rapidement, je ne crois pas qu'il soit content de me revoir surtout avec des minutes de retards. Au fait j'suis Léa

Mouarf, c'est que l'heure tournait... Topaz, qui n'avait pas de montre sur elle, jeta un coup d'oeil à l'horloge murale qui se présentait à chaque couloir. Cela faisait un bon bout de temps qu'elle aurait du se trouver chez le CPE à se faire sermonner et coller, mais pour ne pas vous cacher la vérité, elle s'en foutait royalement. Ce n'était qu'un simple renvoi de cours qui avait mené ses pieds ici, rien d'autre - pas de quoi se presser. Topaz avait souvent eut l'occasion de voir le Conseil principal depuis le début de sa scolarité ; c'est que ses convocations n'étaient pas rares au fil des journées, et il lui est arrivée de se présenter plusieurs fois en une matinée seulement depuis le début de la présente année. L'homme qui la voyait donc constamment se présenter avec toujours un motif plus surprenant et désolant ne se plaindrait certement pas du léger retard de Topaz.

Un brouhaha de voix se fit entendre, venant de la salle de mathématiques. Il s'agissait visiblement du professeur qui épuisait son énergie en se défoulant inutilement sur une malheureuse élève qui n'avait pas le cran de Topaz. Cette dernière eut un petit sourire ironique pour elle-même, entendant l'élève en question essayant de répliquer. Sa protestation s'évanouit bientôt. Ah, ces gosses de riche... Pourris, gâtés, il n'avait acquis aucun courage au cours de leur vie ; leurs tentatives de se défendre quand on les importunait étaient particulièrement comiques. C'était comme si papa-maman allaient débarquer en criant d'une voix affolée et suraigue de ne pas toucher à leur petit bout de chou. Pis encore était le cas des pouf's. Peut-être allez-vous avoir la désagréable impression d'un discours répétitif, mais il faut avouer que ces dernières, en dehors de leur conversation sur le dernier produit L'oréal ou Gucci n'étaient pas bonnes à grand-chose. Même lorsqu'elles tentaient de séduire un garçon qui leur plaisait, ça frôlait le pathétique. Avec leur minauderie, leur immaturité, leur soutif apparent, et leur air grotesque de femelle en chaleur qui se voulait coquin, elles faisaient fuir la gente masculine qui préféraient se rabattre sur des nanas telles que Topaz et Léa. Même ceux du haut trouvait plus de charme et moins de superficialité chez les filles du Bas que les pimbêches qu'ils se coltinaient à longueur de journée. Plaignons-les, mes amis...

Mais je m'égare ; nous parlions de l'heure, si je ne m'abuse.
Topaz, reposant son regard sur la belle Léa, songea que cette dernière devait être là depuis un bon quart d'heure au moins. Impression qui se confirme toute seule lorsque la jeune femme trafiqua le billet qui faisait son malheur - et son retard. Un coup que Topaz avait su employer et apprécier depuis déjà longtemps - un coup classique mais très sûr. En effet, le CPE, dans sa noire imbécilité, ne soupçonnait guère des élèves du bas capable d'une ingéniosité qui lui paraissait impossible de la part de quelqu'un ne portant pas aux pieds manucurés les derniers escarpins de chez je ne sais quelle boutique aux prix susceptibles de provoquer un malaise pour quiconque n'est pas prévenu - et habitué.
Quand la brunette qui lui faisait face suggéra le départ vers le bureau, la sublime Espagnole approuva d'un signe de tête et de quelques mots, suffisants pour le ravissement de n'importe quelle oreille, aussi peu réceptive soit-elle à une voix à la féminité enchanteresse où perçait une pointe d'ironie :

- Ouais, autant en finir rapidement avec ce vieux schnock qui doit trouver le temps bien long ; un peu de compagnie lui fera pas de mal. T'as vu la nouvelle déco' de son bureau ? A gerber.

Certains trouveront un peu gonflés les propos de Topaz, qui ne doit pas s'y connaître en matière de bon goût pour sertir une pièce. Elle les emmerde. Si son appartement n'est pas des plus raffiné, cela ne l'empêchera nullement de juger l'intérieur des autres. D'une façon plus générale, nul ne pourra brider son besoin d'expression, car il ne s'agit pas d'une fille avec la langue dans sa poche. Elle dit les choses, et tant pis pour les conséquences qui suivront. Aucune raison pour elle de se retenir de s'exprimer - on est encore en démocratie, merci.

Topaz se décolla du mur du casier, si j'ose dire, et commença à se diriger vers le bureau, de cette démarche souple, féline et élégante en tout point qu'est la sienne. Le claquement caractéristique de talon aiguille annoncerait déjà au Conseiller adoré *ton ironique* qu'il aurait de la visite, et pas n'importe laquelle. Deux filles du bas à la fois, n'eétait-ce pas la totale pour un pauvre fonctionnaire engoncé dans son costard ?
L'Espagnole tourna la tête vers celle dont elle connaissait maintenant le prénom, pour lui donne le sien.

- Topaz.

Les deux syllabes sonnèrent comme une mélodie, comme chaque fois qu'elles étaient prononcées. Un nom d'origine latine peu courant dans ce pays, mais très joli, on ne saurait le nier. Celle qui le portait et qui n'en était pas moins ravissante n'aurait voulu pour rien au monde le changer. Il la rendait encore un peu plus unique, reconnaissable. Quoi de plus valorisant qu'une reconnaissance à la prononciation d'un seul mot ?

[ Mes posts me paraissent bien courts, mais normal, je les centre pas. >< Plus beaucoup d'inspi', m'enfin va y'avoir un peu plus d'action, donc... ^.^]

Pas besoin de montre pour savoir qu'elle allait être en retard. D'ailleurs la seule montre que Léa possédait était enfoui au fond de son sac en compagnie du petit MP3 et elle ne sortirait aucun des deux sous aucun prétexte, du moins dans l'enceinte du collège. Elle n'était pas assez idite pour cela. D'un geste instinctif, elle posa de même que Topaz son regard sur l'horloge - hideuse avons le - qui se trouvait sur le mur blanc cremeux au-dessus des casiers rouges. Oui, les minutes semblaient s'écoulaient bien plus rapidement en-dehors de la salle de classe étouffante où regnait la voix chevrotante du petit professeur de Français. Cela était bien dommage d'ailleurs. Mais en vérité, la belle brune n'eut jamais réellement assister à se cours en entier et pour cause, elle était toujours renvoyé ou arriver avec plusieurs minutes de retard. Mais que pouvait-il dire ? La punir d'allez en colle ? Si vraiment cela ne l'arrangeait pas, elle sècherait cette punition et elle ne se ferait pas renvoyer en raison de son amitié avec la principale. Après tout, elle dégnait l'honnoré de sa présence à l'inverse de quelques élèves qui eux - dois-je vraiment précisez qu'ils sont bourges ? Rolling Eyes

- n'était en aucun cas réprimander.

Une voix perçante retentit soudain dans le couloir, puis suivit d'un assourdissant bruit de fond où se distinguait une voix fluette qui tenta de réliquer de quelques mots pitoyable que se n'était pas sa faute et tralalali et tralalalère. Immédiatement la voix du professeur la coupa et on distingua, si on tendait correctement l'oreille un sanglot étouffer avant que le calme ne revienne et le fil du cours soit rattrapper. Léa ne put retenir son rire cristallin qui résonna de la même manière que les talons de Topaz. La discretion >< zéro. Mais s'il y avait quelque chose dont Léa se fichiat royalement, la discrétion devait bien prendre la première place. Oui, s'était une manière ou une autre de voir les choses, mais Léa aimait provoquer les choses, et elle aimait sussiter un centre d'intérêt. Enfin, comment dire ? Elle n'aimait pas laissez les autres indifférent. Qu'on l'aime ou qu'on la déteste, sa lui passer au-dessus de la tête mais qu'on ne la connaisse pas celà lui était désagréable à entendre xD. Chaqu'un construit sa 'popularité' comme il le souhaite xD. Et Léa appliquer cela à la lettre. Elle est Bélier ce n'est pas pour rien, mais arrêtons-là les débordement, j'en revient à Léa et Topaz x).

Elle glissa le billet falsifié dans sa poche et entreprit de reprendre un air normale, presque attristé pour que le CPE ne croit pas - bien que cela soit vraie - qu'elle était satisfaite de son exclusion. Même si cela ne jouerait aucunement sur sa probable punition, elle venait de frôler l'excluion quelques jours plus tôt est aurait voulut se faire toute petite, mais comme dit plus haut la discretion n'était pas son point fort. Mais elle était bonne actrice et cela compensait un peu. M'enfin, dans tous les cas elle ne prendrait pas un air désolé ou autre. Elle allait seulement éffacer se petit sourire qui persistait sur ses lèvres et qui lui donnait un air pas net, comme dire notre chere Conseiller Principale. Qui, je pense regrettera subitement de l'être devenue à la suite de la visite des deux filles. Si je ne m'abuse, Topaz ne semblait pas porter dans son coeur le cher Arnold ( le CPE mais si tu veux mettre un autre nom pas de problème xD) cela devait d'ailleurs être réciproque. Mais maintenant ce n'était pas à une furie qu'il allait avoir à faire mais à deux et qui plus aie surement les moins dociles. A ses pensées, ses bonnes résolutions - éffacer se sourire - s'envolère comme le rejet de CO2 dans l'air. Elle approuva d'un mouvement de tête discret et répondit à la suite.

- Avec nous, il n'aurat plus le temps de s'ennuyer je parie. Quant à son bureau ? Oui,c'est le musé de l'horreur, une atteinte au bon gouts et au design moderne. Franchement qui aurait l'idée d'allié de la dentêle à un bureau Hight-tec ? Quant à son tapis tout simplement horrible

Comme à son habitude lorsqu'elle parlait comme cela, elle avait prit une mimique de diva effrayer et une voix de pimbêche. Il était clair que Léa avait un appartement loin d'être décoré avec quoi que se soit, mais le problème était que qu'il était à la limite de l'insalubrité ( sa s'dit ?). Alors déjà rendre tout cela propre était une grosse affaire et puis avec une décoration en plus Oo Grr xD. De toute façon pour le temps qu'elle y passer, elle ne dormait presque jamais là bas. Pourquoi ? Parce qu'elle trouvait toujours un endroit plus approprié pour dormir ou alors parce que la fête se prolonger jusqu'à pas d'heure xD. M'enfin la réponse était sincère malgré ses airs de pimbêches xD. Apèrs tout son amie Gaïa était bien une styliste en herbe non ? Donc il fallait bien qu'elle aie un minimum de gout pour se lier à elle non ? Enfin ... Bref, comment se nommait-elle déjà ? Ah oui, Topaz, une douce mélodie à la consonnance étrangère. Un prénom exotique et rare se qui n'était pas le cas de Léa. Banale au possible, il serait même d'après une récente étude le prénom le plus donner en France >< ! Et elle qui se vanter de vouloir l'originalité xD. Mais après tout, ce n'est pas par la faute de son sa**** de père qu'elle devait rester dans l'anonymat. Elle avait décidé de percer, elle ne savait pas encore où ni encore quand mais elle savait qu'elle y arriveré étant doté d'un fort caractère et d'une détermination à toute épreuve.

De leur pas souple et félin, elles s'approchaient de la porte en fer blanc où une petite pancarte de travers annoncer qu'elles étaient devant la porte du Conseiller Principal d'Education. Léa n'y fit presque plus attention. Combien de fois avait-elle observait cette porte daignant que le bonhomme à la veste noire daigne lui soufflait un "entré" dédaigneux. Stoppant son pas, elle se tourna vers Topaz la bouche dérivant sur le côté en une mou risible avant de souffler.

- Enchanté de te connaître même si les coditions ne sont pas très favorables.

Et voilà que c'était repartie se sourire qui avait le don d'énerver tous adultes la croisant était imprenait sur son visage soulignait par les étincelles dans ses grands yeux chocolats xD. Elle toqua à la porte et, sans attendre une invitation posa sa main sur la poigné avant de pousser la porte et de pénétrer dans l'âtre de mauvais gout. Elle se dirige vers le bureau surement suivit par Topaz et après un signe qui se voulait salueur ( arf, je sais ça se dit pas xD.). Elle posa son billet froissé sur la table et jeta un regard au CPE qui totalement affolé par l'irruption des deux BL. Il mit son monocloque - completemet dépasser - et poussa un soupir à la lecture du mot, jetant un regard mauvais à Léa avant de tourner un regard tout aussi noir à Topaz.

- Et vous Mlle Rumy, j'ose espéré que vous accompagnez cette jeune fille en tant que délégué ?

( Oui c'est parce que tu centre pas, sinon ils sont aussi long )

[ Oui-oui, Léa est le prénom de plus donné en France, d'ailleurs c'est comme ça que je m'appelle dans la vie. =p Pas de prob' pour Arnold. XD ]

Hé, elles avaient fini par y arriver, à ce satané bureau. On peut pas dire qu'elles s'étaient particulièrement pressées, au contraire. Mais au vu du petit vacarme qu'elles avaient provoqué dans le couloir, ce serait louche au vu de n'importe qui que les jeunes filles ne se présentent pas sous quelques minutes devant le CPE. "Pas discrètes, celles-là", aurait trouvé à chuchotaient les bourges, du ton dédaigneux et hypocrites dont ils avaient le secret. Mais tout comme Léa, Topaz ne cherchait pas à passer inaperçue, au contraire - tiens, encore un point qu'elles avaient en commun. Elle cherchait toujours à se faire remarquer - de façon positive ou pas - ce qui ma foi arrivait inmanquablement. La jeune latino n'aurait pas supporté d'une jeunesse passée dans l'ombre. A être démunie, autant en tirer parti, puisque du coup elle n'a rien à perdre - donc rien à craindre. Enfin, presque rien. Car Topaz ne craint pour qu'une personne, qui n'est pas elle-même, c'est son chien. Un an et demi déjà qu'elle l'avait recueilli dans les poubelles, affaibli et abandonné sûrement par un de ces riches qui s'extasient devant une portée de chiots pour s'en débarasser quelques mois plus tard. Un an et demi, et l'animal et sa maîtresse avaient tissé une relation unique. L'un et l'autre était libre, mais chacun avait besoin de l'autre, qui était son oxygère, son rayon de soleil qui dissipe l'obscurité d'un jour orageux. Un an et demi qu'ils se protègent, fidèlement. Un an et demi qu'ils s'aiment plus que tout, lui le dobermann aguerri au combat, elle, la fille du bas qui délie les mauvaises langues. Mais revenons à notre fameux bureau - tout un programme.

Rien que la porte pompeusement placardée des mots en lettres capitales de Conseiller Principal d'Education ôtait tout désir de poser le pied dans la pièce. L'odeur de tabac qui s'en dégageait indiquait que l'homme qui y hibernait était une nouvelle fois en train de se griller un de ses cigares, malgré l'interdiction de fumer dans les lieux publics [magnifique, ça colle à l'actu XD]. Un vrai dépendant à la nicotine, depuis déjà de nombreuses années. Arnold, lors de la promulgation de la nouvelle directive anti-tabac, avait bien essayé de se faire entendre de la principale pour pouvoir continuer à fumer sa dose quotidienne bien au chaud. Mais son ridicule plaidoyer n'avait abouti à aucun résultat, la supérieure l'ayant congédier avec une froideur le glacer le sang.
Topaz elle s'abstenait même de toquer à la porte lorsqu'elle était convoquée."Quoi, protestait-elle quand le CPE lui en faisait la remarque, y'a aucune indication !". Un argument bien évidemment dérisoire, et le sourire narquois de la jeune femme indiquait bien qu'elle était consciente de son manquement. Topaz fut tout de même rassurée de voir que Léa ouvrit sans invitation - et puis quoi encore ? A la phrase de Léa qui avait précédait l'ouverture de la porte, l'Espagnole avait fait un petit signe de tête, pour exprimer son approbation et la réciprocité des sentiements. Au côté de la jeune étudiante bronzée, Topaz fit quelques pas jusqu'à se trouver devant l'homme qui avait jeté précipitamment son cigare dans une corbeille métallique.
L'aménagement de l'endroit ne manquait pas de la surprendre à chaque fois. Un grand tapis de couleur kaki était étalé devant le bureau, on se demandait ce qu'il faisait là. Les dossiers scolaires, où Topaz savait que le sien se trouvait, bien garni, étaient empilés sur des étagères du plus mauvais goût. Et je fais abstraction des tableaux totalement repoussants qui se trouvaient à nombre de pans de murs. Au beau milieu de cette sainte horreur, un homme, serré dans son costume, les cheveux grisonnant, se trouvait là, comme pour compléter le tout.

Topaz arracha son regard d'un nouveau tableau qui ne valait guère mieux que ses collègues en matière d'esthétique. Ses yeux d'un noir hypnotisant où pétillait une étincelle de malice se posèrent alors sur le CPE, un brin hautains. Comme souvent, c'était elle qui le toisait, et non pas ce petit homme impuissant face à non pas une, mais deux nanas du Bas. Un petit rire cristallin et moqueur lui échappa lorsqu'elle vit la cravate à carreau qui ornait le cou d'Arnold - tellement ringard, ce motif. Le CPE n'émit aucune remarque à cette marque d'insolence, pour jeter à Topaz un regard qui se voulait mençant.
A la phrase de l'homme, elle laissa entendre un nouveau ricanement, avant de répliquer en s'obligeant au vouvoiement qui était encore davantage exaspérant pour son interlocuteur - du moins tant que le CPE ne l'agacerait pas trop - de sa voix au séduisant timbre :

- J'avoue que ç'aurait été une situation amusante : Topaz, habituellement convoquée chez le CPE à toute heure, nommée déléguée et chargée d'accompagner une camarade qui ne se trouve étrangement pas dans sa classe. Votre imagination m'impressionera toujours, mais voyez-vous je m'y fait...

Sur ces paroles peu diplomatiques, Topaz alla chercher deux chaises qu'elles avaient repéré poussées contre le mur - pourquoi Arnold ne les mettait-il pas en évidence pour les visiteurs, je vous le demande - les disposa bien en face du bureau, et prit place sur l'une d'entre elle, laissant l'autre à Léa si elle en voulait. En plus de se faire sermonner - ce qui ne manquerait pas au vu de son insolence - elle n'allait tout de même pas se fatiguer à rester debout.

Le CPE n'émit d'abord qu'un claquement de langue agacé, avant de contre-attaquer :

- En ce cas, auriez-vous une explication à me fournir, à savoir pourquoi arrivez-vous comme par hasard ensemble ?

Topaz croisa négligeamment les jambes de rêve moulées dans son jean, et sourit ironiquement, sans être foncièrement moqueuse. Elle avait presque un air innocent - très bonne comédienne qu'elle était :

- Je dirais que le hasard fait bien les choses, ne trouvez-vous pas ?

Soupir exaspéré de l'homme qui ne trouva rien à répondre, et se tourna vers Léa.

[ A toi de voir ;) ]

( Vive jour J xD. Je sens que la longueure du post va être minable, m'enfin je tente le tout pour le tout. J'aime se nom mais pas mon perso xD.)

Ce n'était pas la première qu'elle mettait les pieds ici et surement pas la dernière, de toute façon sa scolritée n'était pas achevé et le cher Arnold n'avait plus qu'à s'habituer à sa présence intempestive et ses arrivé à l'improviste, voilà ce qu'il semblait préocupper au plus haut point le petit bonhomme au ventre replet qui mettait sous pression les quelques boutons de la chemise blanche qu'il avait revêtue se matin. Peut être que les premiers boutons avait déjà cedait voilà pourquoi elles avaient une vue extrêmement superbe de la pilosité du torse de ce qu'elle devait considéré comme leur CPE. Mais ce qui attira l'oeil de la jeune fille outre la cravate aux motifs on ne peut plus dépasser, c'était se vase - certes de mauvais gouts - mais se vase quand même. Elle se replongea dans ses souvenirs toujours se sourire satisfait aux lèvres, n'écoutant que d'une oreille distraite les propos de Topaz et d'Arnold qui semblaient être de vielles connaissances.

***

Flash Back.

Elle se revoyait marchait de cette démarche souple et arrogante de facilité qui faisait se retourner tous les mecs du bahut Bas comme Haut Lanbere. Un sac noire en cuir en bandoulière, une moue boudeuse sur ses lèvres recouverte d'une mince couche de gloss. Ses cheveux - à l'époque court - volé sur ses épaules nue. Elle savait même la tenue qu'elle abordait : une mini jupe en jean à volants et de grandes bottes noire qui prenait bien la forme de ses mollets, un top sans manche rouge vif et un maquillage à outrance. Je vous rassure ce n'est pas parce que c'était l'été non, cette jeune Léa, la vulgaire Léa venait fraichement de débarquer dans se bahut qu'elle qualifier déjà de naze. Sur ses talons trottinait un petit blondinet à grosse lunette qui la dévorait des yeux, en lui promettant de s'arranger pour que tous ce passe bien, mais pour cela il lui conseillait de ne rien dire. Léa s'arrêta net et Jonh - le petit blond - s'arrêta en manquant de lui rentrer dedans -chose qu'elle n'aurait certainement pas accepté -

- Ecoute t'es bien gentil, c'est vachement sympa d'essayer d'arrangé mon cas mais je ne courberais pas l'échine devant un représentant d'une pseudo-autorité c'est bien claire ? Maintenant, tu m'amènes et tu retournes en cours et tu me copie le cours Okay ?

Telle avait été ses paroles, elle s'en souvenait bien et souriait même de sa vulgarité. Il faut avouer que son passé n'avait pas été facile et encore moins brillant. Pour aider sa mère, elle allait dans des bars faire la 'danseuse' contre de l'argent. Argent facile certes, mais se fut pendant tous se temps là que sa ferté prit la poudre d'escampette, a vraie dire, elle n'avait aucune notion de cette dernière. Elle avait reprit sa marche au rythmes de ses talons, John à ses côté.

- Oui, bien je tentais de t'aider.

Léa lui adressa un regard approbatif et se resta planter devant la porte du CPE où le même papier était fixé annonçant que cette salle était son bureau. Le blondinet frappa à la porte puis attendit l'autorisation avant d'entrer, précédant la brune. Même personnage, peut être un peu moins gros et avec moins de cheveux gris. Il leur intima de s'assoir et,Léa se plia à cette demande sous le regard suppliant de Jo'. Se rapprochant du bureau un oeil noire sur la métisse, il discuta un moment avec le délégué avant de le renvoyer en cours. Une fois la porte fermé il éclata d'un rire méchant tentant certainement une manipulation d'intimidation.

- Mademoiselle Sobel serait-elle irrespectueuse ? Il n'est pas bon de se faire remarquer ainsi dès le jour de son arrivé vous savez ?

Croisant ses longues jambes de mannequin, un sourire satisfait apparue sur ses lèvres - sourire qui ne quitta plus son visage - et elle répondit avec autant de politesse que le pouvez une fille sortit des boites à Streap, qu'elle n'éprouvez aucun regrets, aucun remords à son attitude qu'elle qualifiré surement pas d'irrespectueuse. S'en est suivit un long combat verbale où nil'élève ni le représentant de l'autorité ne voulut laissez le dernier mot à l'autre. Mais Arnold la renvoya bientôt en étude. Completement énervé, elle avait renverser un vase - se vase - et avait tourner les talons vertes de rages. Apparement, il avait une certaine valeur car se même vase se trouvait ici avec quelques fissures en plus =). Doux souvenirs de la charmante demoiselles

***

Elle ne saisit que les quelques dernières paroles échangé, totalement dépasser par les évenements. Elle se retrouvait assise sur une chaise sans même s'en être rendue compte. Mais a voir l'air furax du Conseiller, Topaz avat du le remettre à sa place et, vue qu'il manier les mots d'une manière moins habiles que les Bas-Lanbère et les élèves en générale, il semblait vouloir tenez sa chance auprès de Léa >< Pauvre fou. Doté d'u caractère explosif dont il avait réguièrement fait les frais et d'un répondant à toute épreuve; il semblait bien désespéré. Léa lui adressa un regard noire; vous savez les regards des gens quand on les tires des doux bras de morphée ? Exactement celui là xD. Bien que ses rêves à elle n'étaient pas si doux que ça, elle aimait bien se plonger à corps perdue dans ses pensés et detestait en sortir brutalement. Mais arnold ne semblait pas avoir remarqué se regard et commença à lui adresser la parole. Le traitreuh xD

- Que sera le motif de votre expulsion aujourd'hui ? Atteinte à la vie personnelle ?Atteinte à la pédagogie d'un enseignant ? Irrespect ? Insolence ? bavardages intempestif ou ... Ma mémoire flanche, vous avez tellement de motif à votre actif que je ne peut tout retenir.

Elle lança un regard bizarre au CPE, si en plus il tournait au comique >< elles étaient mal barré. Si c'est pas un scoop sa ? Le CPE du Lycée de Lanbère démissionne à cause de ses nerfs à fleur de peau. Topz et Léa les principales responsables. Pour plus d'informatins veuillez vous référé a la page 4 . A lala, elle se mit àrire sans se cacher et ne s'arrêta que quelque temps après. Elle haussa un sourcil et répliqua.

- Insolence ou irrespect ? J'hésite entre les deux. Pour ma part le motif de mon exclusion est autre que le professeur ne peut pas me voir et trouvera toujours un motif plus ou moins valable. Mais vous, en bon CPE vous ne chercherez pas plus loin que votre bout du nez, même avec une énorme injustices les profs seront toujours les plus raisonnables.

Arnold desserra sa cravate avant de siffler doucement adressant un regard dédaineux à la petite brune qui semblait ne pas avoir oublier son insolence. D'un geste de tête il désigna la porte et leur dit d'allez en étude pendant qu'il réfléchirait de la punition qui leur attribuez.

( Si tu veux encore être avec le CPE loOl j'éditerais, mais désolé du post pitoyable j'arrive pas à écrire correctement, pas trop la tête à sa désolé.)

[ Roh arrête de te dévaloriser, il est good ton message ! XD ]

Topaz, après son échange avec Arnold qui visiblement souhaitait s'en prendre à l'une de deux filles en tous les cas, poussa un soupir qui ne se voulait pas atténué. Vraiment, vraiment, quelle idée de réunir en un seul bahut des personnes n'ayant aucun point commun pour la plupart. Et après cela, l'on s'étonnait des incidents qui se produisaient quotidiennement.

Mais la plaie était réellement le CPE, une fois pour toute. En plus d'être plus désagréable qu'un mousique virulent à la fin août, il était rebutant sous toutes les coutures. Nous avons déjà plus ou moins évoqué le côté intérieur de la chose. Arnold - oui, c'est comme cela que les élèves l'appelaient entre eux - était un homme égoïste, sadique, et surtout enivré par son statut social largement plus avantageux que les étudiants du Bas. "Je me demande ce que fais un type comme vous dans un lycée aussi pourri." avait ironisé - miracle : en le vouvoyant - Topaz dès sa première année. Avaient suivies deux heures de colle. Mais il s'agissait bien de la vérité ; en effet qu'est-ce que donc un homme aux moyens financiers tout de même considérables fabriquait ici alors qu'il aurait pu se la couler douce à longueur de journée. "Pour se donner une utilité." avait suggéré l'Espagnole suite à sa première remarque (voir ci-dessus).
Pour continuer sur notre lancée, Arnold était de plus quelqu'un d'atrocement susceptible et qui prenait facilement la mouche. Bon, il faut avouer que Topaz trouvait toujours un moyen de le provoquer sans être foncièrement vulgaire, ce qui peut expliquer ce manque considérable de patience chez cet homme encore davantage accrue ces dernières années. Mais pour couronner ce déplorable état moral, Arnold n'est pas laid non... il est purement hideux. Il prenait d'année en année davantage de ventre - manque flagrant d'exercie - , empestait le tabac. Ses doigts potelés étaient gourds, son cou boudiné, sa voix affreusement rauque, son style vestimentaire risible bien que coûteux. Son visage prenait une couleur avoinisant le cramoisi à chacun de ses accès de fureur contenue - ce qui, pour ne rien vous cacher, se produisait souvent lorsqu'il accueillait Topaz pour l'envoyer d'une façon systématique en retenue. Bref, un physique disgracieux dans un esprit malade - peu réjouissant, ce bilan.
Si encore il aurait s'agit d'un homme un minimum attirant, même avec un esprit aussi tordu, Topaz aurait pu user sans problème de ses charmes pour s'éviter les heures de colle de mercredi après-midi. Mais séduire Arnold était la dernière chose qu'elle était prête à faire. Certes, la faim justifie les moyens, dit-on, mais de là à se torturer soi-même, non. Quoique la tâche aurait été aisée si Topaz s'y était attelée. Elle avait déjà remarqué avec dégoût et exaspération les regards que jettaient parfois le CPE vers son décoletté charmeur, et autres parties du corps aussi attrayantes. Ces coup d'oeil avait profondément agacé Topaz, qui avait trouvé un nouveau défaut à Arnold - eh bien, encore ? - à savoir celui d'être un pervers. Mais la belle savait qu'Arnold n'oserait jamais lui faire le moindre compliment relevant du domaine physique, aussi avait-elle contenu sa colère. Bon, vous l'aurez compris, difficile de trouver pire Conseiller Principal d'education que celui qui officiait fièrement à la Hight School du Lanbere.

Revenons-en à notre scène. Topaz avait écouté avec intérêt la courte discussion qui opposait Léa à Arnold - mouarf, charmant couple de prénoms, ne trouvez-vous pas ? =p Observer les réactions de l'un et l'autre lui en apprendrait davantage sur chacun d'eux. Et puis, c'était amusant de voir le CPE se démener pour avoir un semblant d'attitude inspirant le respect - t'en es loin mon grand. Sentait-il que la situation - être bloquée entre ces filles du Bas - devenait ennuyeuse ? Reste qu'Arnold les congédia sans délai. Topaz arqua un sourcil. L'entretien avait été bien court. Dommage, ça devenait comique. Bah, d'autres occasions se présenteraient de se divertir devant ce beauf.
Ce même petit sourire narquois aux lèvres, la belle Espagnole se leva - pour une fois qu'elle était installée confortablement dans cette pièce. Elle remit prestement sur son épaule son sac en cuir qu'elle avait posé sur ses genoux.

- Bonne matinée monsieur.

Sur cette formule de politesse ironique à laquelle Arnold répondit par un gromellement, Topaz se dirigea souplement vers la porte qu'elle clencha. Elle sortit dignement, sûrement suivie de Léa. Direction l'étude...