Logan Wright Admin
Nombre de messages : 180 Age : 35 Quartier : Bas-Lanbere Contact : Déteste ce p'tit con de Denver Tails ! Joueur : Ponìa Date d'inscription : 03/02/2006
| Sujet: 2- C o n c e p t Ven 14 Juil 2006 - 17:42 | |
| [ C O N C E P T ]
Le concept de Lanbere est tout fraîchement sortis de nos imaginations. Quelques éléments sont inspiré de film : Step Up et Roméo & Juliette. Le reste sors directement de nos esprits tordus et de nos expériences. On demande donc un respect et de ne pas plagier. Sinon faites gaffe, j'ai mauvais caractère [la merveilleuse Pon'] xD.
Lanbere est une ville. Comme plusieurs autre ville, elle marie la pauvreté à la richesse. Le Haut-Lanbere est un quartier de riche. Malgré l'argent débordant, ces familles ne sont pas parfaites. Certaines habritent de princesses capricieuses, hypocrites et insuportables. D'autres famille sont froides. On agit, tout est irréprochable, mais c'est tout juste si les membres de la famille se connaisse. Dans quelques familles, tout semble être la vie parfaite, alors que tout faille. Mais qui oserait annoncer à tous que son père, le célèbre producteur de film à succès trompe sa femme alors que celle-ci boit sans arrêt à cause de sa peine ? Personne, cela va de soi...
De l'autre côté de cette feinte de perfection, il y a l'imperfection à son état pur. La pauvreté est omniprésente, impossible à ne pas remarquer. Le bas-Lanbere est un ghetto. Le mal y réside en permanence. Tout semble aller à son plus mauvais... et tout va à son plus mauvais ! Il y a des fissures majeures dans les familles, les moeurs sont inexistantes; c'est la loi du plus forts...
Chaque quartier avait son école. Puis, il y a eu un fusion de la commission scolaire. La ville et le nombres d'étudiants ne nécessitaient pas deux écoles. Quelques familles riches tentèrent de payer la commission pour éviter ce qui fut tout de même fait. les écoles fusionnèrent en une seule. La Lanbere High School acceuilli les deux milieux. Les élèves de deux univers totalement différents et d'histoires si loin d'être similaires furent forcés de se côtoyer tous les jours...
Un beau pataquès, n'est-ce pas ? | |
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